Marre de la pub !! Par ici article complet et gratuit :
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Perdons-nous tout de suite dans la profusion bigarrée des exemples. Dans les premiers Superman, le ressort narratif est présenté sous la forme d’un petit problème logique : comment Superman peut-il encore opérer s’il a une tête de lion ? Qui des deux Supermen est le bon Superman ? On oublie aujourd’hui que bien avant la mode des combats violents (en partie instauré par Jack Kirby), les comics devaient justifier d’un but pédagogique pour ne pas tomber sous le coup du Comics Code Authority (toujours efficient aujourd’hui pour les séries jeunesse). En somme, le merveilleux ne doit faire irruption trop violemment, car le code de censure avait des principes très stricts pour prévenir la corruption des têtes blondes de 1950 . Plus généralement, face à un ennemi, les héros – et le lecteur, n’oubliez pas, tout ceci est très « wiki » – doivent se demander comment (et non pas pourquoi) on en vient à bout. Suffit-il, par exemple, contre Magnéto, le « maître du magnétisme », de se lancer toutes griffes d’acier dehors, faut-il lui ouvrir les bras et le couvrir de baiser, peut-on le détruire seul et torse en avant, ou les X-men ne doivent-ils pas plutôt faire équipe pour enfin ruiner l’horrible peinture violette de son casque ?
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